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Métamorphoses

 

Dès l’Antiquité l’homme est pensé comme le reflet du monde, dont il est le centre. Ainsi relié au reste de la création, son corps trouve écho dans les mondes animaux, végétaux et minéraux. La correspondance du corps ou de ses différentes parties avec certaines espèces animales, végétales ou minérales permettent d’expliquer le caractère ou les dispositions de l’homme et laisse entrevoir la frontière entre deux mondes.

De façon poétique, l’auteur latin Ovide, franchit cette frontière et livre dans ses Métamorphoses des mutations fascinantes. « Toute forme est une image errante », écrit-il.

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